Derrière la frontière de mes peurs
S’ouvre un horizon
Entre paix et douleur
Un obscur espace
Où je m’aime autant que je me déteste
Le mal est mon allié
Les lueurs s’étalent
Le soleil m’embrase
Et je tourne la page
Avec dans la bouche le goût de mon sang
Je me laisse aller
Et je sombre
Je n’ai plus la force de lutter
Paradis artificiels
Rotting misery
Splendeur du mal
Je te veux en étreinte
Sombrez là les larmes
A Call beyond the light
Noyé dans ma misère
Haletant je cherche
Une paix venant intérieure
Beneath the remains
Un espace où j’échappe à ma folie
A cet endroit si maudit
Que je me plais… à tant aimer
Le silence et l’effroi
Comme ultime témoin
Le chapitre est-il clôt?
Par l’attrait du noir
Purge moi les sens
Je vis à jamais
Entre ces deux mondes
I will die in pain
So dark is my soul
Regarde-moi tomber
Stoppe ce flot de larmes
I will die in pain
Ma douleur est réelle
Je subis mon existence
Dans la loi du silence
Si sombre est mon âme
Et je gis dans les limbes
À la recherche
D’un nouveau postulat
Retrouver le chemin de ma vie
Et enfin quitter la voie qui m’emmène
Entre paradis artificiels et enfers dysphoriques
supported by 10 fans who also own “De Paradis Artificiels en Enfer Dysphoriques”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
supported by 10 fans who also own “De Paradis Artificiels en Enfer Dysphoriques”
What an impressive piece of black metal. This one-man hurricane is pure art. Sgah‘gahsowáh creates an haunting atmosphere. He puts so much soul in his music. Sælzer Bub